
After Dark, My Sweet
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A classic crime novel about a kidnapping scheme gone wrong from Jim Thompson's, America's "Dimestore Dostoevsky".
William "Kid" Collins was once a respected boxer. Now he's a drifter, on the run after escaping from a mental institution.
One afternoon he meets Fay, a beautiful young widow. She is smart and decent - at least when she's sober. Soon Collins finds himself involved in a kidnapping scheme that goes drastically wrong almost before it even begins. Because the kid they've picked up isn't like other kids: He's diabetic and without insulin, he'll die. Not the safest situation for Collins, a man for whom stress and violence have long gone hand-in-hand.
After Dark, My Sweet once again displays Jim Thompson as the undisputed master of American noir. The basis of James Foley's critically acclaimed film of the same name, with the sweep of an epic tragedy, Thompson's classic limns the dangerous territory of honest people all-too-easily sucked into wickedness, with no way out but down.
- Listening Length6 hours and 1 minute
- Audible release dateNov. 1 2011
- LanguageEnglish
- ASINB071JBB38K
- VersionUnabridged
- Program TypeAudiobook
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Product details
Listening Length | 6 hours and 1 minute |
---|---|
Author | Jim Thompson |
Narrator | Kevin T. Collins |
Audible.ca Release Date | November 01 2011 |
Publisher | Hachette Audio |
Program Type | Audiobook |
Version | Unabridged |
Language | English |
ASIN | B071JBB38K |
Best Sellers Rank | #139,033 in Audible Books & Originals (See Top 100 in Audible Books & Originals) #324 in Noir Fiction #560 in Hard-Boiled Mysteries #2,211 in Noir Mysteries & Thrillers |
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Easy read got through it quickly
While the book is perfectly fine it is not in the league of the author's best works: 'The Killer Inside Me', 'The Getaway', and 'The Grifters'. All these books are somehow special in terms of pathos, horror or surprise. They are deserved to be called classics. 'After Dark, My Sweet' is not a classic, and I have no idea what the title means (..it has nothing to do with the story).
Bottom line: a worthy read, especially suited for Thompson fans.
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After Dark, My Sweet a été publié en 1955, soit après deux années qui s'étaient avérées fastes pour Thompson. The Killer Inside Me (1952) avait fermement établi tous les traits qui définissent la plupart des grands Thompson des années 50-60, par-delà certains des archétypes du roman noir (la femme fatale, les pigeons, etc) : la narration à la première personne, le type qui joue toujours au plus fin avec tout le monde et finit par être pris à ses propres pièges, et surtout - contrairement à la tradition des Hammett et Chandler, qu'il poursuit par ailleurs jusqu'à un certain point - le choix de personnages qui ne sont pas des citadins relativement sophistiqués, à commencer par la figure du privé à la Sam Spade ou Philip Marlowe, mais des habitants de petites villes plus ou moins malins, qui prennent tout d'abord leurs aises avec la loi (surtout lorsqu'ils sont censés la faire respecter), puis de grandes libertés avec elle, avant de s'engluer dans des zones grises entre vérité et mensonge, humanité et inhumanité.
After Dark, My Sweet, toutefois, n'entre pas tout à fait dans cette série de livres. Ou plutôt, dans ses narrations à la première personne, il correspond à une variante : celle du personnage relativement jeune et innocent et/ou souffrant de (plus ou moins légers) troubles mentaux - en l'espèce, 'Kid' Collins, ancien boxeur échappé d'une institution, auquel s'intéressent Fay, une belle alcoolique, et son 'Uncle Bud'. Le plus souvent choisi pour pigeon au début du roman, le cave finit par se rebiffer, même s'il accepte parfois jusqu'au bout le rôle qu'on lui a assigné. On pourrait de prime abord croire que ce livre ne va pas être tout à fait au niveau des Thompson majeurs et sans doute ne fait-il partie des tout meilleurs. Et pourtant, la mécanique est ici aussi de précision. L'auteur ménage comme souvent ses effets, pas seulement en termes de révélations mais aussi dans la façon qu'il a d'installer le lecteur dans la voix du personnage pour petit à petit l'amener à épouser son point de vue. Lorsque les hypothèses paranoïaques du personnage se multiplient, le lecteur les accepte comme autant de pistes possibles. La fin, comme souvent avec Thompson, engage bien plus qu'une simple résolution et permet d'ouvrir sur des gouffres existentiels dont on comprend qu'ils ont été patiemment ouverts par le narrateur, parfois partiellement à l'insu du lecteur ou sans avoir l'air d'y toucher. On peut donc considérer que c'est avec une certaine maestria que Thompson fait défiler son histoire resserrée, avec son style apparemment moins relevé que dans d'autres livres. Bien sûr, les dialogues sont à l'occasion piquants, à l'image du personnage féminin qui les profère, mais après un début tonitruant de ce point de vue, on peut également se dire que la source se tarit un peu. En définitive, là aussi comme souvent avec les romans de Thompson que l'on peut de prime abord penser mineurs, on sort de la lecture de l'ouvrage avec une bien meilleure impression globale que ce que tel ou tel moment plus faible pouvait laisser espérer. En outre, si Thompson ne se départit jamais de son regard quelque peu narquois, il est véhiculé dans ce livre-là par d'autres moyens, montrant s'il en était encore besoin que cet auteur ne peut être résumé à ses deux ou trois titres les plus connus et qu'il avait décidément plus d'une corde à son arc.
Si Thompson jouit depuis longtemps d'une renommée certaine - aux États-Unis, Stephen King et James Ellroy ont chanté ses louanges à plusieurs reprises, ce qui ne lui a pas fait de mal - je ne suis pas persuadé qu'elle soit actuellement au plus haut. Après les adaptations cinématographiques l'ayant mis en valeur en France (outre Série noire, Coup de torchon de Bertrand Tavernier, d'après 1275 âmes) et dans les pays anglophones (Guet-apens de Sam Peckinpah, d'après L'Echappée ; Les Arnaqueurs de Stephen Frears ; The Killer Inside Me de Michael Winterbottom), son étoile semble pâlir quelque peu ces temps-ci. On ne peut que trouver cela bien dommage : le temps passe, certes, mais pas plus que Hammett, Cain, Chandler ou Goodis (liste non limitative), Thompson ne mérite d'être délaissé. L'alliage entre la plongée dans la conscience de ses personnages, la noirceur et l'empathie avec laquelle il contemple une humanité passablement grotesque se débattre avec son destin, le tout dans une langue relevée, voilà certaines des raisons pour lesquelles il faut continuer à aller à la découverte de cet auteur. Espérons que les nouvelles éditions de chez Rivages contribueront à faire qu'il ne sombrera pas peu à peu dans l'oubli dans nos contrées.
Si l'on peut comprendre les expressions familières américaines, la lecture en anglais de ce roman-là sera relativement aisée. La traduction chez Rivages - La Mort viendra petite - n'est pas mal du tout. Elle ne rend pas tout le sel de la langue d'origine, tant s'en faut, mais outre que c'est probablement impossible, la version de Luc Chomarat a au moins pour elle de ne pas récrire le texte de façon indue (la traduction, qui date de 1988, faisait partie des premiers Thompson à être publiés par Rivages). Les romans noirs font partie de ces livres qui perdent inévitablement beaucoup à la traduction, mais il était plus que temps que Thompson, et d'autres grandes figures avec lui, soient considérés comme les auteurs qu'ils sont, dont le texte ne peut être malmené ou adapté au gré des fantaisies d'un traducteur ou d'un directeur de collection.
Notons pour finir que Rivages semble avoir suspendu sa politique de retraduction / reparution depuis une bonne année. J'ose espérer que ce n'est pas définitif et qu'ils ne laisseront pas cet auteur majeur tomber en rase campagne.



2. The best 'Noir' writer, no question. Better, yes, than Chandler and Ellroy, who come 2nd. Not my favourite of his books, but very good nonetheless, and what a title.
3. One may start reading Jim Thompson as Pulp Fiction, as an oldie Jack Higgins or what have you, for "the story?"It is usually, to my mind not really the point, though each one is haunting. The writer is also extremely funny - yes a bit "off?"- and his writing, his tempo, his mad lyricism are, last word, overwhelming.